Bon, il semble que BP a finalement réussi à stopper le déversement du pétrole quelles que 80 journées après que la platforme pertolière ait explosé.
Ce qui frappe de cet événement c'est comment le gouvernement fédéral traînait les pieds-comme on dit à Québec. Si vous lisez l'anglais, surtout un peu colloquial, vous pouvez jetter un coup d'oeil aux archives du Gateway Pundit.
Comme je disais tantôt, la lenteur de la réaction de la part de l'Administarion Obama frappe par l'ampleur de comment elle a été très mal-preparée pour cette catastrope. Certes BP mérite les critiques qui l'ont été enyoyé et Tony Hayward a payé un lourd prix; cependant, il incombe au gouvernement fédéral américan a prendre charge dans une telle sitauation. Ce qui crit à l'attention c'est que ni Obama ni ses subordonés responsables à coordner les desastres ont su qu'il existait des ressources telle que des barrières de pollution qui absorbent les nappes de pétrole.
Le PDG de cette entrprise en Maine, se plaignait que ni BP ni le gouverenment fédéral l'ont contacté pour transporter ses barrières au Golfe.
Cette désastre confirme ce que je toujours soupçonnais d'Obama et son Administration: sont des gens «super-smart» mais qui manquent trop d'expérience; en outre, j'ai été un peu irrité de l'hypocrasie d'Obama, il se deludait qu'il se préoccupait beaucoup du deversement mais il prennait beaucoup de vacances, il jouait de golf ou même participait dans les événements de lévée de fonds pour la partie. Hônnetement, son comportement exposait qu'il s'en foutait des gens et de la situation. En fait, le gouverneur de Louisianne Bobby Jindal menaciat de prendre charge de la situation et d'interdire toute agence fédérale parec qu'il avait complètement perdu la patience face au fédéral
. Même quand Obama se presentait aux lieux, ce n'était qu'une occasion de prendre de photo (les photo ops commes les Anglophones les appellent) En toute équité, le président du CA de BP- le Suède- s'est également foutu de la gens du GolfeMais, Obama et son équipe ont été élus parce qu'ils donnèrent une image de compétence. Et on vois maintenant qu'il s'agissait d'un mirage.Tellement qu'il risque de se trouver face à des contestatire lors de la nomination en 2012.
En effet, je n'étais- et je demeure- scéptique envers Obama. Son éloquence me frappait comme trop molleuse et sucrée donce à le soupçonner