Laurent a ?crit une forte int?ressante analyse de pourquoi le f?d?ral tend ? ing?rer dans les comp?tences exclusives provinciales et l'insouisance de Martin de proposer que les provinces peuvent toujours hausser leurs imp?ts. Bravo M Martin vous dites que vous ?tes Qu?b?cois mais vous oubliez vite qu'on est le plus tax? dans tout le continent.
En tout cas, je voulais pr?ciser que cette ing?rerence ne date pas d'aujourd'hui. En effet, une lecture stricetment jurdique de la constitution de 1867 expose un pays ultra-centraliste. C'est le f?d?ral qui d?tient tous les pouvoirs et comp?tences important y compris les pouvoirs r?siduels non-explicit?s dans le document; contrairement ? la constitution am?ricaine qui les octroie aux ?tats locaux. Les fondateurs de la conf?d?ration canadienne l'ont voulu ainsi pusiqu'ils tiraient selon eux les dangers du d?centralisme am?rican qui aurait abouti ? sa Guerre civile. Les fondanateurs canadiens craignaient non seulement de ce m?me dynamique dans les colonies britanniques en Am?rique de Nord mais ?galement les Am?ricans (il suffit de se rappeler la p?riode 1812-1865. Certes les fondateurs ont ?t? anti-am?ricains mais cette attitude n'?tait jamais haineux comme aujourd'hui mais peureux de subir la m?me sort que les territoires m?xicains entre 1848-1856)
Donc, le f?d?ral gagnait toujours les conflict interjurisdictionnels jusqu'en 1898 quand le P-G. du Nouveau-Bruswick avait interj?t? appel au Comit? judiciare du Conseil priv? britannique qui a donn? raision ? la province et avait ?galement arr?t? un judgement fondamental dans le droit constitutionel et administratif canadien. Les juges ont conclu que la constitution de 1867 donnait chaque instances de comp?tences exclusives que ni l'une ni l'autre pouvait rentrer. Les choses se sont rest?es ainsi jusqu'? la p?ridode 1914-45 o? compte tenu de les exigences ? mobiliser les ressources mat?rielles et humaines pour de guerres mondiales ainsi que la D?pression des ann?es 30. Le f?d?ral avait assum? beaucoup de responsibilit? financi?res provinciales car celles-ci ont ?t? dans la faillite.
Donc quoi faire? Sans doutes les provinces devront faire un front commun pour exiger la r?traite du f?d?rals dans le champs qui ne lui corresponde pas et concentrer aux siens comme le commerce interprovincial. Vraiment ?a fait piti? que c'est plus facile ? exporter aux ?tats-Unis qu'ach?ter de biens et de services entre les provinces.
Dan wrote a 2 part reply to Andrew Lazarus about the latter's objections to how Bush has conducted the war on the islamojihadists so far and the Iraqi war.
Reading through Dan's second part, it struck me that what was required was to reestablish the Cocom. The Coordinating committee (Cocom) to my younger readers, was an informal organization established by the U.S. and the allies (NATO, Japan, Australia, Korea, etc) during the Cold war that would impede exports of advanced technologies, industrial processes as well as closely monitor the loans and other sources of financing to the Eastern bloc countries. They were to be denied any edge or advantage.
Cocom pretty much fell into disuse by the time of perestroika; by the end of the Cold war, Cocom was succeeded by the Wassenaar Arrangement In retrospect, Cocom's replacement by Wassenaar was premature given what we now know of Pakistan and North Korea's roles in proliferating weapons of mass destruction technology throughout the world as well as the confluence between international organized crime and terrorism.
I propose to reestablish Cocom and invest it with new responsibilities; notably
I would also encourage great flexibilty within Cocom. For example, it's quite possible for the World Bank to work with Interpol on certain financial crimes; courts to require NATO's expertise with chemical weapons in the course of a trial or investigation. Indeed, the whole point of Cocom is to be the principal forum where the West and sympathetic countries that need to work together or whenever some type of multilateral cooperation is called for as well as being the resource centre to consolidate everyone's expertise so that they don't waste their time replicating information that's already available.
Hier, les polices ont apport?s au tribunal pour une mise en accusation formelle aux trois accus? d'avoir incendie de fa?on criminelle la biblioth?que des United Torah Schools en Montr?al.
Ce qui est fort int?ressant se sont les accus?s car lorsqu'on lit leurs noms, il s'agit de noms arabs et plus sp?cifiquement alg?riens. Premier constat: quelle surprise que se sont des personnes d'origins arabes pusique j'en doutais qu'un Qu?b?cois bien courant incenderait une ?cole juive pour d?noncer la morte de Sheik Yassan. Deuxi?me constat: que les accus?s n'ont jamais parl? de la politiqueni manifestaient de sentiments int?gristes, les jeunes semblaient normaux et courrants comme ados.
Erreur. Ces jeunes-l? n'ont pas r?veill? un bon matin et d?cid?rent qu'il d?truisiraient un cible juif. Bien avant cet acte, il y a eu une propagandisation continue et constant. En outre, tout le monde aimeraient conna?tre o? ils fr?quentaient, avec qui, quand et qu'est-ce qu'il fasient.
Avui hem apr?s que el PSC ha anunciat als altres partrists que no pogui comptar amb ell per demanar el retorn dels papers de Salamanca. Realment, el PSC es b?n in?til excepte per obeir els mestres madrilenys.
Es cert que en el quotid?, el retorn dels papers espoliats de la Generalitat i d'altres entitats de la societat civil catalana no t? una import?ncia transcendental; per? si t? un import?ncia s?mbolica que satisfaria el poble i es revendicaria una cosa menys del govern central. Tanmateix, demostra que la Transici? encara no s'ha acabada i pitjor: el catalans havien d'acceptar que s'amestinen els integrants del r?gim franqusita per permetre la redemocratizaci? del pa?s; per? el govern central novament democr?tic mai havia donat una contraprestaci? com retornar els papers de Salamanca.
Ambd?s partits centrals prefereixen rastar els peus i llan?ar apol?gies absurdes en lloc que admeten que encara pendeix una deuta que cal tancar una p?gina hist?rica. La rejecci? per part del PSC es inexcusable i manifesta el seu sucursalisme envers el partit nacional.