La politique de la yuan a faite les manchettes. Il y a quelque temps que les Américains pressionent les Chinois à réévaluer leur devise à la hausse mais cette semaine le Président de la Chine ainsi que le président de la banque centrale chinoise ont refusés. Le problème reste au fait que le yuan est dévalué d'un 10%-25%, selon les diverses études, ce qui facilite les exportations chinoises mais difficulté les activités économiques d'autres pays surtout les États-Unis et l'Europe.
En fait, les politiciens américain revendiquent de l'Administration Obama de déclarer la Chine une 'manipulatrice de devise' ce qui ouvrira des sanctions économiques. L'Administration semble hésiter mais les politiciens qui font face à des élections partielles donc ils prendront les choses en main si l'Administration refuse.
Les raisons de la dévaluation ont une certaine logique dans le contexte de la situation chinoise: le régime doit assurer un taux de croissance de 8% ou plus afin de satisfaire les citoyens ordinaires ainsi que de leurs donner de l'emploi sinon leur légitimité est en jeux. Donc, il vaut mieux d'avoir des voisins fâché qu'un fils rébellieux
.Malheureusement, les dirigeants chinois oubliassent que la reste du monde n'est pas responsable d'assurer les emplois des Chinois, de soutenir le taux de croissance l'expansion de leurs exportations au dépens d'autrui. En effet, in n'incombe pas aux autres pays à préserver la légitimité du régime quand la leur est en jeu parce qu'ils ne peuvent pas réanimer leurs économies d'après le pire de la crise.
En outre, les réserves de devises que le régime ont accumulées: un 2,4 millions de milliards de dollars U.S. constituent de l'argent mort. Ces réserves sont totalement inutiles puisque le régime ne les dépensent pas pour améliorer l'infrastructure de l'intérieur ou le système de santé ni les pensions. En fait, la Chine soufre une boule sérieuse dans l'immobilier causée en partie de ses réserves.
Les dirigeants chinois lorsqu'ils refusent de réévaluer à la hausse la yuan se trouveront avec deux cauchemars: les voisins fâchés répresailleront contre la politique économique chinois ce qui provoquera les fils à rebeller.
Les dirigeants chinois apprendront un vieux adage de Wall St: on peut enrichir comme un ours ou comme un boeuf mais jamais comme un porc.