Hier, j'ai lu un reportage que la Commission des droits de la personne avait dooné raison à l'association d'étudiants musulmans à l'Ecole de technologie supérieure que l'université doive les fournir une espace pour la prière.
Ce qui m'a frappé c'est l'attitude du plaignant Farid Ghanem se dit amer de la decision pour trois raisions. Primo, qu'il prétend que les institutions québécoises peuvent discriminer contre les Musulmans sans sanctions. Secundo, qu'il defendât les mêmes valeurs que les Québécois et Canadiens por que les communautés étniques accèdent à pied d'égalité aux institutions. Finalement, qu'il ait eu d'harcelement contre les étudiants musulmans dan la practique de leur religion.
Je ne reviens pas de comment ses propos et son attitude sont complètement hors de lieu. Priemièrement, Ghanem a été un candidat au doctorat avec un excellent rélévé de notes et même s'il avait désisté de poursuivre ses études à l'ETS sous protêt, il a pu terminer ses études à une autre université. Or, il a pu accéder aux institutions québécoises en tout égalité.
Deuxièment, il n'a pas pu avoir de la discrimination sans impunité puisque la Commission lui a versé 35 000$ à titre de dommages-intéret et elle a donné à 113 de ses correlgionaires 10 000$ chacun. Doncs, l'ETS doit payer 148 000$, les founir une espace de prière et publier un excuse publique. Belle illustration de discrimination et harcèlement sans consequences!
Lorsque je lisais l'article une question toujours surgisssait: où étaient les groupes musulmans d'appui et les individus pendant ce litige? Si la prière fût si importante pourquoi personne ne leverait de fonds pour trouver et louer une espace pour la prière hors-campus mais assez rapprochée à l'ETS? En effet, je n'ai pas entendu rein de la solidarité musulmane qu'ils vante tellement et nous font avaler à maintes reprises