Le Rapport Ménard (en PDF; taille 2,4 Moctet) adopte une bonne approche lorsqu'il déclare:
«Les initiatives ayant connu le plus grand succès
sont généralement des initiatives locales menées
rigoureusement par des gens passionnés et issus de
leur communauté, qui savent adapter leurs pratiques
à la réalité immédiate des jeunes qui y vivent.» [p.30]
Cependant, je note qu'il soulève encore des questions suppleméntaires parce que les rédacteurs ne m'ont pas satisfait comme la concertation, la décentralisation, les enseignants masculins et la profession d'enseignment.
Avons-nous vraiment besoin de concerter les acteurs que le rapport nomme? Je comprends le but mais bénéficeraient-on plus si on décentralisera les efforts tout en coordinant les informations, succès, bonnes idées que les intervenants locaux ont trouvées ou crées?
Ce qui me frappe du rapport c'est qu'il ne parle pas de la décentralisation du système éducatif. Ne serait-il nieux que le Ministère de l'Éducation aura la courage et qu'il retourne l'initiative aux instances locales de chaque ville et laisse les commissions scolaires se débroubler?
Francement, les Ministère et les gouvernements successifs ont tout tenté sauf la subsidiarité. Ce concepte n'est pas trop compliqué: les instances supérieures ne doivent pas faire le travail d'une instance locale lorsque celle-ci le fait mieux. Malhereusement, le rapport ne le prône pas assez selon mon avis et on devra serieusement pencher à rédonner l'initiative et l'argent aux parents et commissions scolaires.
Le rapport analyse assez complètement la dynamique qui amène à la décrochage mais il laisse carréement de côté de comment l'ingérence du Ministère décourage les parents et les acteurs locaux à prendre l'intérêt dans la scolarité de leurs jeunes parce que les deuxièmes ont adopté une attitude que ça appartient au gouvernment et non pas à nous.
Je révindique que le gouvernement dégraisse ces programmes et initative et de les déléguer aux villes et organismes locales tant privés que publiques. Les sociétés modernes sont complèxes mais on complexifié la realité en soi sans qu'on réfléchisse si ces programmes-là sont réallement nécessaires ou bénéfiques.
On a analysé de comment la manque de décentralisation le découragement la subsidiarité condusient à la décrochage. Mais il y a un autre élément qui amène au décrochage de jeunes-surtout de garçons- qui est presque tabou de le souléver: que le plupart d'enseignantes aux niveaux primaires et sécondaire sont femmes (émission de radio de 2006).
Les garçons s'irritent parce que celles-ci compétentes ey passionnées qu'elles soient, rappellent les primiers de leurs mères...Les garçons ont besoin d'un menteur masculin qui complement celui du père.
Les garçons nécessitent comment socialiser entre eux avant qu'ils peuvent socialiser avec les filles. Une façon efficace c'est d'avoir un prof qui capte leur imagination de ce que le premier fait ou de ce qu'il est (menusier, soudeur, aventurier, atlète, chasseur, etc)
Les graçon aiment apprendre de quelqu'un qui offre une expérience practique quelleconque en plus d'une caractère irréprochable qui met en oeuvre la chivalrie, l'honneur, l'importance de la parole donée etc. En autre, ce prof dépensera des conseils et défiera les garçons à apprendre à travers des exercices concrètes comme fabriquer une roquette, escaler une colline etc.
Qui de mes lecteurs masculins ne se rappellent pas d'un coach, un voisin, un ami, voisin, oncle qui nous ont marqués de manière positive pendant notre jeunesse? Ces personnes avaient réussi à satisfaire notre curiosité ou encourager nos intérêts.
Le système éducatif devra prendre en compte que les garçons apprennent parfois différenmment des filles
Le rapport pose une question rétorique de si les Québécois valorisent l'éducation qu'il répond à la négative. Mais le rapport part d'une présomption erronée que c'est la manque d'un haut salaire comparables à d'autres professions. Ce n'est seulement pas le salaire qui décourage les personnes à poursuvire l'enseignement comme carrière: c'est la rigidité d'y entrer.
Il y a 3 ans que le gouvernement est devenu conscient d'une pénurie d'enseignant en 5-10 ans. Tellement conscient qu'il avait assoupli les réglements sur la nécessité sine qua non de posséder une bacc en pédagogie pour y accéder.
Malheureusement, les commissions scolaire l'ont rendu une lettre morte parce qu'elle refusent de laisser de gens qualifées ou expérimentées pour l'enseignement à y accéder précisement parce qu'elles n'ont pas le bacc en pédagogie! Donc, ceux qui s'interesseraient à devenir enseignant soit perdent l'intérêt ou deviennent tellement frustrés qu'ils continuent dans leurs professions courants.
Cependant le rapport n'avait jamais questionner cette rigidité surtout dans le contexte du décrochage scolaire. C'est une occasion manquée et on paiera cher tant que le gouvernment et citoyens ne se mettent d'accord que l'accéss de gens qualifées compte beaucoup plus qu'un diplôme.
Le rapport Ménard parte d'une bonnée idéee mais que je me démontre scéptique parce que le décrochage scolaire persistera tant que le Ministère d'Éducation ne décentralaise réellement les programmes et budget aux instances locales et les commissions scolaires assouplissent leurs comportement rigide face aux personnes qualifiées ou éxperimentées qui peuvent enseigner malgré l'absence du bacc en pédagogie.