J’ai eu l‘occasion de lire les manchettes et les commentaires sur les différents plans de stimuler les économies des pays industrialisés.
Président Obama lorsqu’il dénonçait que les entreprises qui recevraient l’aide financière publique avisait qu’elles ne devront pas aller à Las Vegas pour aposter et fêter en carnaval; mais pourquoi il avait dénoncé cette ville-ci et non pas inclue Atlantic City reste une mystère. En conséquence, il avait une chute dramatique des réservations des séjours d’affaires à Las Vegas et autres destinations ‘exotiques’ telles que Puerto Rico par les entreprises, qu’elle recevaient ou non de l’aide financière publique afin d’éviter de maux de tête en relations publiques.
J’ai réfléchi sur la situation qui brille par son ironie: les gouvernements- américain dans ce cas- avaient légiféré leurs plans de stimulations mais ils ne veuillent pas que les particuliers et entreprises dépensent car c’est la responsabilité du gouvernement!
Personnellement, je vois ces plans de stimulation comme une prise de pouvoir caché; voire, une véritable coup d'état contre le secteur privé et la société. John C Wright rappellequ’on se retrouve dans une situation très semblable à l'Italie (et l’Espagne, Portugal et les autre pays latins/catholiques) des années 30. C’est à dire que les EU et d'autres pays industrialisés ont des économies fascistes. Il utilise le terme de manière technique d’où la propriété n’est pas abolie mais le gouvernement contrôle les plus important secteurs de l’économie qui se renforce avec un interventionnisme accru et bureaucratique. Moi j’utiliserais le terme corporatiste parce que beaucoup d’autres pays latins/catholiques de l'époque n’ont pas été fasciste comme l’Italie même s’ils partageaient beaucoup des points en commun.
Curieux défaite de l'idéologie corporatiste qui a été complétement décréditée à la fin de la 2e Guerre Mondiale.
Un autre élément qui caractérise l'économie corporatiste c'est les syndicats verticaux qui monopolisent les relations industrielles. En effet, aux États-Unis on les a vus lorsque le gouvernement fédéral obligeait les constructeurs d'autos d'accorder avec les créanciers et les syndicats avant que les premiers pourraient être éligibles de l'aide financier. Ouais, il ne manquait que les représentants des consommateurs pour compléter le scenario.
Chose certaine, les politiciens aggraveront la crise