Hier la La Tribune il avait un article sur le transfert d'étudiants d 5e et 6 e années du primaire de Stratford Disraeli et comment leurs parents menacent de les garder la maison comme proteste de la décision de la commission scolaire.
Bref un article qui premire vue n'est qu'une banal reportage sur un phénomne courant ici la province. Cependant, Mme Blais préfet de la MRC du Granit a exprimé une observation trs juste: lorsqu'il n'a plus d'enfant c'est le coeur du village qui arrt de battre.
Une conclusion sage mais je dois tre froid, les villages rurales québécoises meurent, et mourront, parce que pendant les dernires 30 années on a avortées 30% de la génération subséquente en plus d'une politique sociale, sinon pas anti-familiale, qui décourageait que les couples d'en établir.
Donc, mme si les couples commueront donner naissance 4 enfant ou plus, c'est trop tard pour arrter la décroissance des villes rurales. En outre, celles-ci n'offrent pas grande choses aux jeunes. J'en ai passé et elle sont plus au moins identiques: 1 église, 1 hôtel de ville avec le centre communautaire et un dépanneur qui double comme station d'essence.
Comme on constate, il y a peu qui attrait les jeunes rester mme si quelqu'uns aimeraient y rester. C'est vrai que Mégantic, les dirigeants politiques ont établit un CÉGEP pour que les jeunes ne quittent pas la région pour y aller ailleurs. C'est un bon pas mais aurait-il des emplois convenables une fois qu'il auront terminées leurs études?
En tout cas, si les Québécois veuillent vraiment sauver les villages rurales, on devra cultiver une culture qui valorise les enfant et adopter une politique sociale qui encourage les familles.
Watching TV and looking at the images of New Orleans, I shake my head at Nature's awesomeness as well as at the sadness for the loss of the city. I'm just completely stunned at the extent of the destruction. It's like the opening scenes of a disaster oriented sci-fi movie.
At the same time rebuilding New Orleans and the other Gulf cities will be both a bonding experience for Americans as well as an economic stimulus. True, the high oil prices could very well crimp the vigour of the rebuilding because speculators and investors are still edgy as well as the insatiable demand from the Indian and Chinese economies.
Nonetheless, a disaster of this magnitude brings out the best of the American character: an optimistic can do spirit and the desire to rebuild the destroyed cities even better so that they never suffer such damage again.