La décision de la Cour suprême et le futur du médicin socialisé
J'applaudis la décision de la Cour suprême de permettre les contribuables à utiliser les assurances privées pour payer des traitement lorsque le système publique en tarde de les prodiquer de façon déraissonnable. Je fournis un exemple: maman s'est faite mal et elle a reçues des surtures. Quand il est arrivée au Canada, elle avait un rendezvous pour les enléver; cependant après avoir attendue pendant 2 heures et demi, elle a téléphoné pour lui dire qu'elle viendra pas pour dîner. Surpris, papa l'a convaincue à retourner à la maison et il les a enlévées! Papa est un médicin rétraité. C'est honteux qu'un traitement si simple tarde excessivement. Maman a été chanceuse que papa est un médicin, la personne ordinaire ne dispose pas de cet avantage. la décision de la Cour est tant courgeausqu'audacieuse. Couraguese parce qu'elle remet en question l'évolution du système de santé publique et obligera les gouvernement à réflechir. Audacieuse, pusiqu'elle boulverse les idées reçues sur la santé privée et comment on l'implementera sans enfriendre l'art 2 de la Charte québécoise.
J'applaudis également le gouvernment Charet à ne pas succumber à la clause non-obstant et au moins éclater le débat.Plus familier avec le réseau espagnol, j'encourage le gouvernement d'y jetter un coup d'oeil ainsi qu'aux autres systèmes mixtes. Une compétition saine toujours bénéfice la population.
Llegint la premsa singapuriana
Passant gairbé 2 mesos a Singapur, llegeixo els diari principal, el
Strait times Com a diari no esta malament però si es avorrit vegades. Tinent amb compt que es trata d'un diari molt aprop del govern; doncs, es pot adivinar les seves preocupaciones. Els articles sobre el debat perenial entre l'anglès estandar i el Singlish (Singapore English), que n'es un mescala dels diversos dialectes xinesos, el malai et el tamil, es graciòs per que demonstra come el segon realment irrita el govern. Si pogués abolir el Singlish multant-la, el faria. Però en general, la majòria dels articles son fexiucs perque els periodistes els escruiren amb un to sicofantica i una actitud candida que extol len la saviesa del govern, el geni d'un ministre l'astùcia d'un ciutadà o altra. Es com llegir l'Hola à l'epòca del franquisme tardà/Transició principal. S'ha de prendre en compte que desde l'independència, el govern controlava de manera indirecte els medis de comunicació. Doncs a través les llicències o àdhuc el suministrement de paper, el govern ha pogut controlar la premsa a publicar que el considera digne a reportar.
Fa poc que el ministre 'senior' havia admès que al pais la premsa es 'responsable'. En una verdadera democràcia la premsna no es responsable à publicar que un govern doni el vist-i-plau so pena de o practicar l'autocensura. No es de investigar sobre tot mena de afers que afectin el poble i que poguin decidir a fer o no fer.