Hier, on a tous vu comment Charest avait carrément fait un volte-face en moins de 48 heures à l'égard du financement des éciole privées juives. La pression politique a été trop pour que son gouvernment et la décision soulevait bien trop des questions entre la possible 'coincidence' entre une contribution aux coffres du parti et la décision de financer ces écoles-là. Mama m'ha dit qu'elle trouve Charest valiant puisqu'il a réviré une décision érronnée
. Peut-être mais je n'y crois pas.
En moins d'une semaine, le gouvernment a raté une deuxième occasion d'y proposer une politique assez radicale: la dé-étatistion partielle de l'éducation au Québec. Charest aura pu utiliser cette controverse pour soulinger les difficultés et dilemmes que le gouvernmenet- peu importe quel parti est en pouvoir- et rappellé que telles controverses sugiraient régulairement. Le présent gouvernment aurait dû proposer une politique radicale qui ébranelerait les idées reçues.
Notamment:
Les Québecois dervont se familairiser de nouveau avec la subsidarité; que l'éducation n'incombe pas à l'État et franchement ils doivent le méfier un peu. Personellemnet, je suis tanné que le gouvernement, les syndicats de l'éducation et les lobbys traitent les parents commes imbéciles à l'égard de décisions qu'ils entreprendent pour l'instruction de leurs enfants mais ceux-ci exigent que les parents sont des agents éclairés et autonomes pour payer les taxes scolaires et avaler sans opposition aucune chaque nouvelle idée que le Ministère impose aux jeunes.
Avant de clôtre ce billet, je voulais comment sur la position du lobby La Conféderation pour la déconfessionalisation des écoles. Elle illustre bien ce que j'ai dénouncé ci-haut de l'État, les syndicats et les lobby. La Conféderation prône pour l'abolition purement et simplement des cours de réligion dans les écoles publiques.
D'ici, même si je suis en désaccord, c'est un positionnment raisonné et légitime qu'on debattra pour long temps.Mais, elle ne se contente pas simplement à l'avoquer, elle veut que le gouvernment abolisse tous les subventions aux écoles privées pour qu'elle devienne tellement chères que les parent n'auront pas coix que d'opter' pour l'école publique. Quelle language orwellienne! Ma question vous êtes qui pour recourrir à l'État pour coérciter les parents à envoyer leurs enfants? Qu'est qu'il a de si sacroscant des écoles publiques qu'elles doive monopoliser l'instruction de jeunes. Ne constitute-t-il une inculcation idéologique du laicïsime autant insupportable que l'ensiegnement réligeux que vous dénoncez? Vous avez peur que l'existence des privées expose la médiocratie honteuse des publiques et au lieu d'encourager l'amelioration de la deuxième à travers la compétition, vous vous détuire les primières. Pensez-y! Vous prônez la médiocratie pour tous le monde!
Colter defends the government legalization of homosexual coupling with such bad faith, that it's allowed Elmasry to step in and expose the former's growing isolation from reality. Elmasry now wants the government to legalize polygamy
His reasons appear reaonsable only because the policy of legalizing homosexual marriages is so aberrant that other alternatives appear sane. Colter and the Liberal government are too ideologically blinded to the point of insanity to care about how their dynamiting of the Judeo-Christian concept of marriage is progressively wrecking havoc throughout Canadian society. Indeed, Elmasry's stance on polygamy not only highlights his cynical contempt of Western civilization and its fundamental institutions but also underscore the deeply defective understanding of marriage that Islam possesses.
Elmary conviently leaves aside that polygamy can't be legally recognized in Canada because bigamy is still illegal. In the civil code, a couple is considered qua husband and wife after 3 years of cohabitation and 1 if a kid is born during the relationship. I'm sure it's similar to the common law provinces. So no matter how hard the couple try, the bigamy wil be found out. One grotesque manner where the bigamy will be discovered is the day that daugther presents fiancé (or vice versa) and both discover to be half-brothers or half cousins.
Consangious marriage is illegal in Canada. Arab Moselms favour marriage between first cousins. Not even the most ardent secularists will abolish the degrees of prohibition for marriage. Even they will balk at the idea of family members marrying each other.
So not only does Elmasry insist that Canadians break the law some more but he casually reduces the second and subsequent wife's intrinsic dignity to that of just a mistress or girlfriend. In other words, we lie about our relationships or copulate via temporary marriages and then dissolve them when the couple got what they wanted. Note Elmasry's clever advocacy for temporary marriages. Islam recognizes them but whose criteria sometimes come across as raising hook ups to a sacrement.
Treating the subsequent wives as mistresses and girlfriends leads pretty much to Mideast society in a mirocosom: women regulated to an unprotected status; each one competing for the husand's attention and affection. The kids become involved in the resulting intrigue as pawns and the result is societal chaos. It's a neverending soap opera of domestic intrigue, jealousy, violence, hatred and infinite nursing of grudges against family members.
Canada is still a good decent society; yet the current political party is obsessively destroying those qualities in the name of social reforms that the majority doesn't want, never voted for and vehemently opposes and its beneficiaries don't give a shit about. Let's not compound the self-destruction by legalizing polygamy.
So Colter show some guts: admit the obvious relationship between homosexual couplings and polygamy as well as every other defective relationship who adherents calmour for legalization.
Hier, le ministre Reid avait dévoilé son plan de reformes pour le futur d'enseignement collégial. Honnêtment quelle inutilité de la timidité. Le ministre commence à bon escient de donner plus d'autonomie aux CEGEPs à établir leurs critères'd'admission...mais c'est tout? Quelle occasion ratée pour cause de timidité de mettre en oeuvre l'une de plateformes éléctorales chères du gouvernement Charest: le partienariat public-privé.
En fait il m'étonne que Ministre Reid n'avait même pas envisagé cette option. Une telle aurait permis d'implanter des programmes coop au sien de l'ensiegnement collégial; en outre, les enterprises s'impiqueraient davantage et les employeurs chailleront moins que les étudiants sont mal-préparés ou que leurs études ne répondent pas aux besoins du marché de travail. Ce que me fâche beaucoup si comment les réformes dilueront à rien la valeur d'une DEC ou l'attestation. Ceux qui n'auront pas complété leurs études recevront quand même un document qui atteste les travaux que les étudiants auront complétés. Voilà ce qu'on puisse attendre de boomers: un politique de sentir bien dans son peau. Or, on infantalise les étudiants qui ont décroché pour quelque soit la raison puisque même s'ils n'ont pas términé leurs études, on va les quand même donner un bout de papier pour qui les décrocheurs ne se sentent pas exclus de ceux-là qui les ont complétés. C'est injuste pour tous le monde.
Ces reformes-là soulèvront beaucoup de poudre puisqu'on se demanderait à quoi sert les CEGEP. Personellement, Je préférais que les CEGEPs retournent à ses sources et privilègent la formation professionnelle en partinariat avec les differentes professions. Québec a une pénurie maintenant et c'est le temps à former un main-d'oeuvre hautment qualifée et bien instruite. Quant aux CEGEP qui ont choisi la vocation générale qu'on implante des programmes cooperatifs. Finalement, qu'on reserre les critères d'admissions.
Ce n'est pas une honte si un CEGEP refuse un postulant ou qu'un jeune ne désire pas continuer ses études post-sécondaires. Un taux de réussite de 61% d'étudiants qui termine leurs études dans les temps requis (2 ans pour le DEC générale; 3 ans pour le professionel) est inacceptable et c'est injuste aux jeunes. On ne peut les laisser perdre leur temps en changant de disciplines et au programmes pour se 'retrouver' pour pour 's'épanouir' à chaque session.
Il existe des éntités bénévolats qui combleront ce désir et payeront ces jeunes-là. Peut-être, plus tard certains désiront poursuivre un DEC et on devrait les éncourager. Un DEC ou une AEC doit valoir quelque chose et fournir des indices au monde de la capacité de jeunes lorsqu'ils intégrent dans le marché de travail.
Vendredi passé, il y avait un article du Gazette d'où la porte-partole de l'Office de la langue française commentait que les francohones trouvent que les examens, dont les deux infermières avaient échoué, facils.
Voyons, Madame Porte-parole de l'OLF, ces examens-là n'adressent pas aux francophones mais aux non-francophones qui doivent travailler dans la langues pour de raisons professionneles. Doncs, l'opinion des francophones est totalement sans-pertinece.
Cependant, le commentaire de la porte-parole expose l'imbecilité de l'OLF dans la façon qu'elle applique la loi et administre les examens. Ces intégrant ont toujour commis l'erreur grave de traiter les candidats qui subissent les examens comme s'il fussent des philologues ou des linguistes. L'OLF doit reviser son tir et ne pas ambitionner trop. Le vrai but de ces examen c'est d'évaluer la personne en question est capable de travailler dans son profession et non pas expliquer des règles obscures grammaticales. Le plus grand problème de l'OLF c'est sont attitude. Au lieu d'encourager l'apprentissage du français comme un activité épanouissante, elle la rend comme une charge onéreuse et bien fatiguante.