Congrats to the Red Soxs

Les cols blues montréalais et la convention collective

Les cols blues montréalais toujours démontrent une qualité sourdine dans la bataille pour influer l'opinion publique à raillier à ses perspectives. Premièrement, il tombe mal qu'un ligne de syndiqués empêchent des journalistes à accéder à un rencontre dite publique.

Que cachent-ils? Qu'est-ce qu'ils ont peurs s'il lassieraient les journalistes y participer au séance? Deuxièmement, Les syndiqués peu généront peu de sympathique lorsqu'on apprend qu'ils n'acceptent pas un convention collective qui a été imposée par un arbitre de travail à la demande de parties vu l'impasse. Troisièmement, c'est une erreur stratégique majeur qu'ils se plaindent qu'il perdent leur droit d'une semaine de quatre jours.

Honnêtement, les col blues doivent s'arrêter pour un moment et penser comment l'image que cette revendication se traduise au grand publique. Pensent-ils que le contribuable l'appuyerait? Une société ne pas se payer cette luxe surtout quand les syndicats ne proposent aucune solution pour augmenter la productivité soit par moyens téchnologiques soit en concentrant les nombres d'heures dans la semaine de travail écourtée. En tout cas, on prédit que les cols blues mettront les pieds dans le plat puisqu'ils ont carrément mis à côte le public qui accepteront, de façon résignée, tous les grèves et moyens de pression

Congrats to the Red Soxs

Les cols blues montréalais et la convention collective

Les cols blues montréalais toujours démontrent une qualité sourdine dans la bataille pour influer l'opinion publique à raillier à ses perspectives. Premièrement, il tombe mal qu'un ligne de syndiqués empêchent des journalistes à accéder à un rencontre dite publique.

Que cachent-ils? Qu'est-ce qu'ils ont peurs s'il lassieraient les journalistes y participer au séance? Deuxièmement, Les syndiqués peu généront peu de sympathique lorsqu'on apprend qu'ils n'acceptent pas un convention collective qui a été imposée par un arbitre de travail à la demande de parties vu l'impasse. Troisièmement, c'est une erreur stratégique majeur qu'ils se plaindent qu'il perdent leur droit d'une semaine de quatre jours.

Honnêtement, les col blues doivent s'arrêter pour un moment et penser comment l'image que cette revendication se traduise au grand publique. Pensent-ils que le contribuable l'appuyerait? Une société ne pas se payer cette luxe surtout quand les syndicats ne proposent aucune solution pour augmenter la productivité soit par moyens téchnologiques soit en concentrant les nombres d'heures dans la semaine de travail écourtée. En tout cas, on prédit que les cols blues mettront les pieds dans le plat puisqu'ils ont carrément mis à côte le public qui accepteront, de façon résignée, tous les grèves et moyens de pression

Congrats to the Red Soxs

Les cols blues montréalais et la convention collective

Les cols blues montréalais toujours démontrent une qualité sourdine dans la bataille pour influer l'opinion publique à raillier à ses perspectives. Premièrement, il tombe mal qu'un ligne de syndiqués empêchent des journalistes à accéder à un rencontre dite publique.

Que cachent-ils? Qu'est-ce qu'ils ont peurs s'il lassieraient les journalistes y participer au séance? Deuxièmement, Les syndiqués peu généront peu de sympathique lorsqu'on apprend qu'ils n'acceptent pas un convention collective qui a été imposée par un arbitre de travail à la demande de parties vu l'impasse. Troisièmement, c'est une erreur stratégique majeur qu'ils se plaindent qu'il perdent leur droit d'une semaine de quatre jours.

Honnêtement, les col blues doivent s'arrêter pour un moment et penser comment l'image que cette revendication se traduise au grand publique. Pensent-ils que le contribuable l'appuyerait? Une société ne pas se payer cette luxe surtout quand les syndicats ne proposent aucune solution pour augmenter la productivité soit par moyens téchnologiques soit en concentrant les nombres d'heures dans la semaine de travail écourtée. En tout cas, on prédit que les cols blues mettront les pieds dans le plat pusiqu'ils ont carrément mis à côte le public qui accepteront, de façon résignée, tous les grèves et moyens de pression

Congrats to the Red Soxs

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Que cachent-ils? Qu'est-ce qu'ils ont peurs s'il lassieraient les journalistes y participer au séance? Deuxièmement, Les syndiqués peu généront peu de sympathique lorsqu'on apprend qu'ils n'acceptent pas un convention collective qui a été imposée par un arbitre de travail à la demande de parties vu l'impasse. Troisièmement, c'est une erreur stratégique majeur qu'ils se plaindent qu'il perdent leur droit d'une semaine de quatre jours.

Honnêtement, les col blues doivent s'arrêter pour un moment et penser comment l'image que cette revendication se traduise au grand publique. Pensent-ils que le contribuable l'appuyerait? Une société ne pas se payer cette luxe surtout quand les syndicats ne proposent aucune solution pour augmenter la productivité soit par moyens téchnologiques soit en concentrant les nombres d'heures dans la semaine de travail écourtée. En tout cas, on prédit que les cols blues mettront les pieds dans le plat pusiqu'ils ont carrément mis à côte le public qui accepteront, de façon résignée, tous les grèves et moyens de pression

Zarqawi's pledge to Bin Laden: Dan's vindication

La Constitució europea: bescanviem un centralisme per un altre

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