Bonne année nouvelle chez lecteurs.
Ce billet a été posté il y a quelques jour et ceci démontre que les Musulmans embracent également la culture de la morte même si les causes en sont différentes de l'Occident.
Les clercs de l'université d'Al-Azar, qui est l'institut d'enseignement islamique le plus vieux et les plus préstigeux, a décreté qu'une femme victime de viol qui se trouve enciente doit immédiatement procéder à un avortement, après qu'un médecin lui autorise, en vue de préserver la stabilité de la société.
Certes, les clercs universiatires ont raision à dénoncer que le viol déstabilse la société; cependant tuer le faible- l'enfant à naître- qui n'aucune faute dans cette situation est affreux et malin. En outre, cette déclaration souligne un élément dérangant de l'Islam: notamment qu'il s'agit d'un paganisme monothéiste. Où la collectivité, peu importe comment elle se définit, prime la dignité de l'individu y compris l'enfant à naître.
Et qu'on ne jamais oublier que même si la femme violée avorte l'enfant à naître, cette action ne la mettra pas à l'abri d'être tuée à son tour par sa famille ou son tribu sous l'étiquette de tuerie «d'honneur», pour avoir «polluée» le bon nom de ceux-là. Pis encore, les clercs d'Al-Azar sous-estiment profoundement les conséquences de l'avortement aux femmes, les hommes et la société.
Contrairement ce qu'ils prétendent ces clercs-là, avorter un enfant issu d'un viol ne assure pas la stabilité mais perpetue la violence puisque les familles s'entretueront et après il vengeront contre celui qui a apporté «la honte» à la famille et au tribu. Ce comportement rappelle les mots de Jésus dans Matieu [Mt] chap 12 verset 25. Avorter un enfant à naître d'un viol constitue une échappatoire facile d'un grave problème moral.