Al-jack a écrit un bref billet dans lequelle il défende la char'ia Selon lui est le systme de justice le plus parfait et que la terre entire doit se soumettre. En outre, il prétend qu'il est sacrilge d'avoir divisé la politique du sacré. Al-jack régurgite la contestation clichée chre des Musulmans que le christianisme avait faussé la Bible en inventant les parole de Jésus lorsqu'il disait de rendre Caesar qui lui appartient et Dieu le sien.
En actualité, de 800 1792- il y avait une identification entre le trône et autel; la Réformation protestante n'avait en rein changer. Cependant, comme rappelle Fr Richard John Neuhaus que le christianisme avait toujours encouragé de souverainetés concurrentielles Et on ne doit jamais oublier l'événement séminal qui a profondément marqué l'Église: sa persécution pendant 3 sicles et les martyrs par la plus puissant empire de son temps. Telle expérience causa l'Église et ses fidèles d'tre profondément sceptique de la bonté du pouvoir laque.
Contrairement l'islam, les Musulmans n'ont jamais subi une persécution semblables malgré leurs prétentions au contraire. Mais plus fondamentalement, il y a une fosse théologique entre le christianisme et l'islam: c'est le monisme implacable du seconde qui interdit la division du sacré du profane; de la religion de la politique.
Le concept de Dieu chez les Musulmans c'est qu'il est si absolu, si omnipotent, qu'il dirige tout et les hommes ne sont que des marionnettes que Dieu fait que bon lui semble. Il n'est pas tenu d'tre ni constant ni motiver ses actes; l'homme ne qu' obéir et celle-ci se manifeste en exécutant les obligations qui le Coran lui impose et telles que la char'ia les a interprétées.
Dans cette logique on comprend mieux pourquoi les Musulmans ont préservé l'institution légale de la proscription de l'Ancien monde et son application ceux qui ont convertis une autre religion. On comprend la logique- mme si elle nous agasse- d'un systme de droit qui humilie les Chrétiens et Juifs par la dimmitude et l'application du pacte d'Omar qui perpétue leur statut maudit jamais. Dieu est le souverain total que le sacré se trouve dans le profane; la religion est la politique.Mais les Musulmans ont de la misre d'y répondre de façon raisonné et raisonnable comment la char'ia amne une société ordonnée quand cette loi ne reconnaît nullement la spécificité de la politique et de la religion. En fait, Al-jack expose un défaut de ce monisme théologique islamique et ceci lui dérange sans poutant articuler de manire cohérente. Il demande pourquoi la famille se comporte avec les principes islamiques tandis que la politique contredit ces principes-l. Il conclut avec une ontologie erronée .
La politique (ou l'État ) ne peut pas tre animée par l'amour répliquera le Chrétien. On privilégiera notre famille, nos amis, notre tribu et exclut tous qui n'appartiennent pas aux clan des favoris
Pour mes amis tout; mes ennemis, rien ni la justice comme dise le refrain espagnol. Donc, la civilisation islamique implique le sacré dans un lieu qui n'est pas le sien pour résoudre les affaires mondaines .
Le Chrétien corrige cette contradiction insoluble de la théologique islamique Il y a deux sphres dont chacun sa place et son rôle jour dans la vie terrestre d'hommes (le principe de subsidarité) . Le but du Chrétien c'est d'assurer que l'amour informe la justice dans le sphre de la politique et non pas la substituer. La politique n'est pas une acte religieux; la religion n'est pas du sacré politique. Donc la char'ia offense le droit naturel et outre la décence commune humaine précisément parce qu'elle place l'amour dans la politique et la justice devient sévre puisqu'une contravention de droit constitue un acte blasphématoire, toute décision politique constitue un acte liturgique qui renforce l'ordre éternel et immuable.