J'ai lu le Manifeste pour une Québec lucide grâce Laurent qui a fourni lien (document en PDF). Tant lui que Simon et Vincent publieront leurs billets. Le mien sera plus sceptique et amer.
La raison pour cette réaction c'est parce que en lisant le manifeste, je me demandais, pour Mms Bouchard et Facal lorsque vous étiez au gouvernement ses plus hauts postes, vous n'avez pas faits preuve de cette lucidité, responsabilité et liberté confronter le déclin démographique et toutes les conséquences par la suite? J'ai posé la même question aux représentants du secteur privé. Pourquoi maintenant et non pas 10-15 années auparavant?
Pour un membre de la Génération X qui frise la quarantaine, ce manifeste est bien trop tard pour moi et mes confrères générationnelles.
J'exposerai la raison principale: pendant les années 90, le boomers ont paniqués lors de la première guerre du Golfe, le défait d'Accord Meech et la crise d'Oka. Tellement, qu'il avaient claquées les portes aux jeunes- moi et mes confrères. Les boomers avaient soudainement hausser les exigences pour les postes de travail, resserrer les années d'expérience nécessaires pour ceux-ci et carrément abolis tous les poste d'entrées aux marché du travail combiné de grands nombre de pieds de seconde file des boomers avec cette expérience convoité. Le résultat que la Génération X a été- et demeure- sous-employée, mal-payée et effectivement exclue contribuer la prospérité du Québec un moment critique.
En effet, quand j'ai retourné de mes études en Ontario, j'ai été choqué du fait que la province avait perdu l'espoir puisqu'au carrefour local il a été vide d'enfants. Pendant 5-6 années, je n'avais vu que trs rarement des poussettes. En plus, on se souvient comment les médias de l'époque mirent les mains sur la tte lorsqu'ils lamentaient (comme tout boomer parent) que les jeunes dans leurs vingtaine ou trentaine vivaient encore chez maman et papa. Qu'est-ce qu'ils ont voulu ces boomers? Ils n'ont jamais capter les liens entre le resserrement des conditions d'emploi, la compétition pour des postes de travail qu'on comblerait jamais en raison de l'influx de boomers de deuxième file au marché de travail et la mauvaise paie pour les emplois disponibles. En fait, pendant le début d'années 90, le Québec avait carrément arrêter d'investir, d'avoir de bébés à moment crucial.
Et on paie pour ces décisions-là
Je retourne aux propositions. Les manifestants ont sans doute raison qu'on doit reevaluer si une hausse de taux d'électricité et un dégel de frais de scolarité sont nécessaires. Cependant, ils oublient que le contribuable ne peut pas supporter une hausse soudaine et d'un seul coup. Ils revendiquent qu'une reforme à mi-chemin si au même temps on ne réforme pas ni fiscalité ni l'état. Contrairement, aux manifestants, je n'appuie pas une hausse des taxes de consommation; au contraire, je revendique un abaissement de la TVQ 2% et des privatisations à outrance en commençant par la SAQ et une libéralisation de permis pour vendre les boissons alcooliques.
Quant l'éducation, je préconise qu'on réduit au maximum l'ingérence du Ministre de l'Éducation et on décentralise les commissions scolaires pour qu'elles redeviennent responsables aux parents. Trop souvent, les commissions obstinent la volonté de parents et les exasprent tellement que ces derniers jettent l'éponge en frustration. Et le gouvernement et les médias se demandent pourquoi le taux de participation d'élection scolaires sont de 12%.
En plus, on doit abolir les journées pédagogiques et prolonger l'année scolaire. Je n'ai jamais compris l'utilité des premire outre que donner quelques congés au frais du contribuable et déranger le rythme d'apprentissage des enfants. Au mme temps qu'on reforme celles-ci on doit ouvrir le marché d'enseignement aux écoles but lucratif. Trs controversé et les professionnels tant de l'enseignement que les travailleurs de soutien y opposeront farouchement. Cependant, le monopole étatique condamne lui-mme par ses pitres résultats- surtout le taux de décrochage de garçons ados- tandis que les filles réussissent des taux phénoménaux
.En conclusion, le manifeste brisent en fin les tabou qui entouraient l'avenir de Québec mais il soulve au même temps les question fondamentales de pourquoi maintenant et non pas 10-15 années jadis? Qu'a changé au sien de boomers qu'ils rompe leur silence?
Ces question-là sont autant importants que les revendications qu'ils prônent.